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Tuc de la Coume 1745m


1ere randonnée printanière de la saison, car je pense que pour le ski ou les raquettes s’en est pratiquement fini. Je suis allé faire le Tuc de la Coume, petit sommet que j’avais repéré en montant à la Journalade l’année dernière. La montée est assez longue mais agréable sauf quand on rencontre toutes ces voitures et camions pourris abandonnés le long de la piste, c’est lamentable de voir ça. Une fois sorti de la forêt, une rude montée m’amène sur la crête. Il fait un temps d’enfer c’est génial. Je vais faire une petite visite au pic de Balmiou, jolie vue sur le Tuc de la Coume, mais sinon pas vraiment d’intérêt. Je remonte la crête jusqu’au sommet du Tuc, la vue de ce modeste sommet est vraiment superbe sur une grande partie de l’Ariége. Je casse la croute au sommet en profitant de cette vue, il fait chaud, c’est fou, c’est trop agréable. Mais bon il vient un moment ou il faut bien redescendre, je continue donc la crête jusqu’au Tuc de Ramonet 1674m mais il n’y a plus rien à voir, je reviens donc en faisant une boucle sur le chemin de montée. Vers 1095m, au 1er cimetière de voitures, je vois un chemin sur la carte qui revient sur la piste plus bas et il sera bien plus agréable que la montée par la piste. On y croise pleins de granges plus ou moins en état dont une vraiment superbe. J’arrive comme prévu sur la piste plus bas qui me ramènera à la voiture.

Départ : De l’épingle du gite d’étape au dessus d’Ercé.

Dénivelé : 1250m

Distance : 18 km

Cartographie IGN

Photos

11 commentaires sur “Tuc de la Coume 1745m

  1. Jolies les photos !
    Et sympa les panos annotés (j’ai essayé de trouver une erreur , sans succès !).
    Ca donne une bonne idée du niveau d’enneigement, cet été, on ne sera pas trop emmerdé avec les névés ! D’ailleurs, ce Tuc est très facile à faire avec un peu plus de neige.
    Concernant le cimetière, on le voit bien sur des photos, certains véhicules sont utilisés pour dormir et pour entreposer des affaires, … c’est l’Ariège. Et on ne parle même pas des cabanes construites sans aucune autorisation, j’en ai découvert tout un paquet récemment dans le Biros.
    A la descente , tu as choisi le bon chemin; sur un autre tu tombes sur une folle avec plein de cabots.
    Philippe

    • Salut Philippe
      Ben oui je voulais le faire en neige mais bon voila quoi ……..l’enneigement et du niveau de fin Avril c’est catastrophique pour l’eau cet été, quand aux voitures, sans déconner, je sais pas ce qu’il fout le maire d’Ercé ….c’est vraiment dégueulasse…..enfin bon comme tu dis c’est l’Ariége

  2. Salut Dédé, Comme toujours tu nous livres un très beau reportage. Et comme souvent, des sommets aux altitudes modestes nous offrent des panoramas superbes. Que dire de cet hiver qui se résume à quelques semaines….. C’est triste, car cela présage un avenir très proche sans hiver. Encore merci pour nous faire découvrir de jolis coins Ariégeois.

    • Merci Ludo pour ce mot sympa, oui les hivers comme on en connaissait avant je pense pas en revoir de mon vivant malheureusement. J’aime de plus en plus ces petits sommets modestes mais qui offrent de superbes vues 🙂

  3. J’ai oublié de dire que j’aime particulièrement la photo avec le zoom sur le Valier et son glacier 😍👍.
    Et dans la continuité de la discussion sur le changement climatique que l’on voit concrètement dans les Pyrénées, l’aspect et les mesures sur le glacier d’Arcouzan seront scrutées avec attention cet été après deux années très chaudes. Ce glacier (mon ptit chéri) va t’il encore tenir sa place dans la résistance alors qu’ailleurs dans les Pyrénées, les autres s’effondrent ?

    • Celle ci je l’ai faite presque pour toi 🙂
      Il résiste bien par rapport aux autres mais je crois que s’en est finit pour tous les glaciers des Pyrénées sous peu

  4. Bonjour Dédé et à tous, en cumulé à Saint-Lary-Soulan, 1 m 50 de neige pour cet hiver me disait un copain pisteur… Quid pour la suite ? Amitiés montagnardes. Olivier.

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