But au Montlude


Décidément ce sommet ne nous veut pas, après un 1er but en Avril 2017, nous avions atteint le sommet en Novembre 2017 mais dans le brouillard complet, nous n’avions donc pas pu profiter de sa vue réputée somptueuse. Pour cette sortie, Neela, la fille d’Alain nous accompagne pour sa 1re rando hivernale.

Pour cette nouvelle tentative, nous sommes partis de la cabane du Portet au-dessus de Lez, en pensant faire le pic et si nous en avion le temps, faire une boucle par Barracomica. En partant vraiment trop tard, et vu l’état de la neige, nous étions bien ambitieux. En suivant la piste nous arrivons vite à la cabane Det Cau de Naut et nous trouvons la neige à cette altitude. Nous partons à droite pour rattraper la crête mais on galère vite dans cette neige qui ne porte pas et nous chaussons les raquettes. Ça va mieux mais on brasse malgré ça et on n’avance pas dans une pente quand même assez raide. Nous arrivons au sommet du Tuc des Néres, il est déjà 11h45 et nous ne nous attendions pas a voir le Montlude encore si loin. Déjà, vu l’heure, on doute d’aller au bout mais on se dit qu’on verra sur la prochaine pointe. On chausse les crampons car la pente est raide et on met pas mal de temps car Neela a de vieux crampons à lanières et c’est encore une 1re pour elle. Je passe devant pour faire la trace pendant qu’Alain encorde Neela. Je m’enfonce jusqu’au mollet, c’est dur mais j’arrive en haut et j’attends l’arrivée du duo pére/fille. Il est 12h45 quand ils arrivent et vu l’état de la neige nous calculons qu’il faudrait encore une bonne heure et demie pour arriver au sommet du Montlude, trop tard, nous stoppons ici car le point de vue est déjà magnifique. Nous prenons notre temps désormais pour casser la croute puis nous redescendrons tranquillement jusqu’à la voiture.

Départ : de la cabane du Portet 1530m

Dénivelé : 900m

Distance : 7km

Cartographie

Photos

Cap de la Dosse 1948m en boucle


Faire un sommet à 1950m fin Janvier sans mettre un pied dans la neige c’est une première, mais j’ai bien peur que ce ne soit pas la dernière malheureusement. Je suis donc parti de la route forestière du panel de la Jaude qui se prend un peu avant le col du Port et je me suis garé juste avant une épingle à 1185m et j’ai eu la surprise d’avoir un mot écrit à moitié en Français et moitié en Espagnol sur le part brise en revenant qui me disait qu’il ne fallait pas se garer ici, je n’ai pas trop compris pourquoi ? …

Juste après le pont de l’épingle, prendre à droite un semblant de piste qui se perd de suite mais on retrouve le chemin quelques dizaines de mètres après mais se reperd plus loin. Suivre malgré tout la ligne de courbe, ça passe facilement dans la forêt jusqu’à en sortir. J’ai continué à suivre la ligne de niveau en légère ascendance jusqu’à arriver à la cabane du Cougougnac 1350m. Continuer toujours en légère ascendance jusqu’à se retrouver sous le roc de Trabinet puis monter direct la rude pente jusqu’au sommet 1663m. Du sommet on peut voir la longue ligne de crête qui amène au Cap de la Dosse, il ne reste plus qu’a la suivre. Cette crête ondule en passant par les différents petits sommets, le Menties 1698m et le cap de l’Escalot 1741m. Du Cap de l’Escalot ça descend un peu jusqu’au col du Pla de Pessé 1711m pour remonter durement jusqu’au sommet du cap de la Dosse 1948m. La vue du sommet est en partie cachée par le massif des 3 Seigneurs mais c’est quand même pas mal, la Journalade est magnifique vue d’ici. Après le casse-croute, je redescends par le même chemin puis avant le col du pla de Pessé je tourne à gauche direct dans la pente qui est assez raide jusqu’à la cabane de la Doule. Dommage que cette cabane soit détruite car elle est super bien située sur une jolie jasse. Après la cabane, il faut traverser le ruisseau pour trouver un chemin qui ramène à la voiture.

Départ : de l’épingle à 1185m sur la route forestière du panel de la Jaude.

Dénivelé : 1000m

Distance : 13 km

Cartographie

Photos

Sommet Antenac 1990m


Je n’avais jamais fait ce pic, pourtant emblématique de l’avant-chaine, grave lacune aujourd’hui réparée. Pour cela je suis parti du petit village de Montmajou à 800m d’altitude au-dessus de Cier de Luchon. C’est le sentier N°58 qui est assez bien tracé et qui reste très longtemps en forêt, on en sort en arrivant à la magnifique cabane de Séridet à 1650m, je trouve la neige à ce niveau. Superbe vue de la cabane sur le pic de Burat et le Bacanére juste en face. Après une petite pause pour visiter la cabane, je repars dans la neige, je n’ai pas pris les raquettes et c’est rude car la neige n’a pas gelé avec ces températures de printemps, je m’enfonce jusqu’au mollet. Je prendrais mon temps pour faire les 350m restants et arriver au sommet. J’y arrive bien cuit mais la récompense est là, la vue y est somptueuse, comparable au Mt Né ou au Bacanére. Je profiterai de cette vue en cassant la croute en tee shirt…… chercher l’erreur un 24 Janvier. J’avais prévu de faire un bout de crête jusqu’au Cap de Bassias mais il est déjà tard et j’y renonce, je redescends donc direct par le chemin de montée. Le retour, comme l’aller en voiture sera compliqué à cause de la gréve des agriculteurs.

Départ : de Montmajou 800m

Dénivelé : 1350m

Distance : 13km

Cartographie

Photos

Sommet du Templa 2121m par les crêtes depuis Bareilles


Pour faire cette partie de crête que je n’avais pas encore foulée, nous sommes parti de Bareilles pour rejoindre les granges de Lencoueu puis droit dans la pente bien raidasse jusqu’à la crête de Serre et le Cap d’Artigue Couade 1731m. Nous trouvons la neige à cette altitude, une neige tantôt portante, tantôt molle, bien casse patte. Nous arrivons vite au sommet de la montagne du Pin 2001m et la vue se dégage et porte bien loin sur tous les hauts sommets de la chaine, magnifique. A partir de là, la crête ondule sans arrêt en alternant les petites montées avec de plus rudes jusqu’au sommet du Templa 2121m. Nous profitons d’un peu de soleil pour casser la croute au sommet et se régaler de cette vue splendide. Une fois le ventre plein, nous descendons direct dans la pente à vue jusqu’à une cabane ou nous retrouvons la piste qui ramène vers Artigue Longue puis à Bareilles.

Départ : De Bareilles 1100m

Dénivelé : 1250m

Distance : 17km

Cartographie

Photos

Rocher de Miglos 1708m et Pla de Montcamp 1905m


Pour le dernier jour de grand beau de la semaine, j’en profite pour aller faire un tour du côté de Miglos et son rocher. Départ du petit village de Norrat 915m, d’abord sur une piste et après 150m trouver le sentier à gauche qui monte efficacement au col de Larnat 1195m. La vue s’ouvre sur le massif de Tabe juste en face et on peut voir le village de Sinsat tout en bas. A partir de là, prendre plein crête jusqu’au rocher de Miglos. Ça ondule sans arrêt avec parfois un bon coup de cul et les paysages sont magnifiques tout du long. Le rocher de Miglos est un amas de gros blocs esthétiques qui dénote bizarrement au milieu de ces prairies. J’y suis vers 10h45 et je me dis que c’est un peu tôt pour faire demi tour, je décide donc de continuer jusqu’au pla de Montcamp pas très loin. J’y arrive 3/4 d’heure plus tard et je me rappelle de la rencontre inattendue avec Olivier il y a presque un an jour pour jour, ou nous sommes arrivés ensemble lui venant d’où je viens aujourd’hui et moi arrivant de Gesties, chouette souvenir. Je descends manger à la cabane du col de Sasc, ou nous avions mangé avec Olivier puis je repars, mais cette fois ci, en mixant tantôt la piste, tantôt par la crête pour arriver au col de Larnat. Il ne me reste plus qu’à descendre à Norrat retrouver la voiture.

Départ : du village de Norrat 915m, vallée de Miglos.

Dénivelé : 1100m

Distance : 17km

Cartographie

Photos

Rocher de Scaramus 1868m et pic Fourcat 1921m


Pour nos retrouvailles avec Pierrot, nous avons choisi un truc tranquillou mais que je n’avais jamais fait. Nous sommes partis du col de Marmare et nous avons pris la piste qui monte tranquillement vers le col de Fajou 1502m puis la longue crête qui mène au Rocher de Scaramus 1868m. La vue commence à être sympa mais le vent forcit et ça commence à peler sérieusement. On file direct vers le Fourcat, le vent est gelé et après quelques photos on descend vite fait se mettre à l’abri pour le casse croute. Après un solide apéro et un casse croute d’enfer, on redescend tranquillement à la voiture pour finir cette sympathique journée.

Départ : du col de Marmare 1360m

Dénivelé : 750m

Distance : 10km

Cartographie

Photos

Pic de St Barthélemy 2348m


Pour profiter de la seule belle journée de la semaine, je suis allé faire un tour du côté des Mt d’Olmes sans savoir vraiment ou aller. J’ai déjà fait tous les sommets du coin mais toujours par l’autre côté, je me décide pour le plus lointain, le St Barth. L’air est pur et en montant je vois très nettement la montagne Noire à plus de 100km. J’arrive sur le bord du domaine de la station, le col d’Appy est juste au dessus, le col de Girabal est plus loin et c’est vraiment galère pour l’atteindre. J’y arrive enfin et la vue s’ouvre sur les sommets Ariégeois en même temps que je prends le vent du Sud en pleine poire. Il ne reste plus que les 350m raide à monter dans cette neige tantôt gelée, tantôt poudreuse. J’atteins le sommet et le vent s’est renforcé, ça caille sévère, le ressentit doit être bien en dessous de zéro mais la vue est tellement belle que je reste un peu pour en profiter. Je redescendrais par le même chemin jusqu’à la voiture.

Départ : de la station des Mt d’Olmes 1500m

Dénivelé : 1000m

Distance : 11 km

Cartographie

Photos

Soum de Coste Oueillére 2453 et 2518m


Vu le vent du Sud tempétueux prévu par météo France, je suis resté sur le piémont pour en être un minimum abrité. Le Soum de Coste Oueillére, que je n’avais pas encore fait, rentrait dans ces critères. Je pars donc des granges de Camoudiet, ça monte dur d’entrée et ce sera comme ça tout du long. Ça monte au milieu des pâturages, les chevaux paissent tranquillement, il n’y a pas de vent, c’est super sympa. Je feinte le col de Crabe pour monter plus direct sur la crête par des sentes à brebis parfois bien raides. Une fois sur la crête, suivre une sente plus ou moins visible jusqu’au sommet 2453m. Le vent souffle fort et je passe presque sans m’arrêter pour continuer la crête jusqu’au pic sans nom, côté 2518m. Il faut mettre un peu les mains sur le début sans difficulté, puis les autres pointes se feintent par la gauche sans pb. Il ne reste plus qu’à remonter la rude pente jusqu’au sommet 2518m. Il y a moins de vent ici, protégé par la crête du pic d’Aulon/Arbizon plus proche. Vue sympa vers le Sud mais masquée au Nord par cette crête qui me protège du vent. Je décide de redescendre par le fond du vallon pour être à l’abri du vent. Durant la descente je verrais plusieurs hardes de biches et cerfs qui semble pulluler dans le coin.

Départ : des granges de Camoudiet au dessus de Payole.

Dénivelé : 1150m

Distance : 10km

Cartographie

Photos

Epaule du Marboré 3073m et pic Occidental de la Cascade 3095m


En 2019 nous avions fait un beau périple avec le Casque, Tour, Cylindre, Marboré et les 2 pics de la Cascade mais le temps nous avaient manqué pour faire les 2 derniers, je suis donc de retour à Gavarnie pour les faire. J’arrive au col des Tentes vers 15h pour une montée au refuge ou je passerais la nuit. J’arrive au refuge vers 16h30 et je serais dégouté d’apprendre plus tard que Kilian Jornet et passé derrière le refuge vers 17h sans s’arrêter, je ne l’ai pas vu mais plusieurs personnes qui étaient au refuge le soir on échangé avec lui, très sympa et abordable parait il……pffffff dégouté. Après une bière et un super repas ou on a bien rigolé avec un groupe de Landais, je passerais un long moment dehors sur la terrasse à regarder le coucher de soleil sur le cirque avec une belle mer de nuages, magique. Le lendemain après le petit dej, départ vers 7h30. Rude mise en jambe car c’est raide jusqu’à la brèche. On se dit au-revoir avec le groupe de Landais car eux vont faire la Faja de las Flores et dormiront ce soir à Goritz. Je pars vers le pas des Izards ou un couple de jeunes Français est devant moi. Eux vont faire le Mt Perdu et dormirons aussi à Gotitz le soir. On chemine plus ou moins ensemble en se doublant et se redoublant et après être passé sous la Tour, nous ne voyons ni l’un ni l’autre la cheminée qui permet de passer à l’étage supérieur, on suivait bêtement les cairns qui je suppose mène au refuge de Goritz. Je m’en rendrais compte 1/2 heure plus tard. Je les appelle et je leur dis qu’il faut faire demi tour car ce n’est pas le bon chemin. On remonte donc et effectivement je trouve la cheminée, 1h de perdue…..Après la cheminée on retrouve le bon chemin du col de la cascade. Je passe ou on avait campé il y a 4 ans et ça me rappelle de bons souvenirs. Je sais ensuite qu’il faut prendre une autre cheminée qui permet de passer au plateau sommital et………..je la louperais aussi mais je m’en rendrais compte assez rapidement cette fois ci. Re demi tour et je vois un tout petit cairn dans la face, en regardant mieux j’en vois d’autres plus haut, ça doit être là. Je monte, la cheminée n’est pas difficile mais n’est pas très sécur, rendue assez glissante par de petits gravillons. J’arrive sur le plateau sommital et il ne me reste plus qu’à gravir les 50m restant pour atteindre le sommet de l’Epaule 3073m. Belle vue sur le cirque, il y a un vent de fou et les nuages montent, je ne reste pas longtemps et file vers le pic Occidental tout proche. J’y suis 10mn après, la vue est équivalente à l’Epaule mais ce vent désagréable me chasse assez vite. Je ne veux pas descendre par la cheminée et je fais un grand tour pour l’éviter jusqu’à l’aven du Marboré, d’où je dois maintenant remonter jusqu’au col de la cascade. J’arrive au col et je vois un espagnol complétement perdu qui cherche le chemin de la brèche. On arrive à se comprendre tantôt en Espagnol tantôt en Français et il me dit que ça fait 1/2 heure qu’il tourne en rond et était prêt à revenir sur Goritz d’où il venait. Je le guide jusqu’à la cheminée loupée le matin et on se suivra ensuite jusqu’au col de Boucharo. Lui descend au refuge de Bujaruelo et moi je vais vers le col des Tentes. Il me remercie chaleureusement et on se quitte en se faisant signe de la main. 1/4 d’heure plus tard j’arrive enfin à la voiture après une belle bambée de 25km et 1600m sur la journée.

Cotation : PD-

Départ : du col des Tentes

Dénivelé : 2100m

Distance : 30km

Cartographie

Photos

Tusse de Montarqué 2889m et Pic Gourdon 3034m


Depuis les granges d’Astau, habituel départ pour les hauts sommets du Luchonnais, je pars vers 13h dans une chaleur inhabituelle pour la saison, vers le refuge du Portillon. Je croiserais pas mal de monde jusqu’au lac d’Oo, un peu moins vers Espingo et encore moins jusqu’au Portillon. Je me régale toujours autant de la vue sur cirque du Portillon en buvant une bière bien fraiche, je constate aussi que malheureusement, le glacier du portillon d’Oo a complétement disparu, c’est bien triste. La soirée au refuge sera bien sympa, nous ne sommes que 12 et parmi les 12 se trouve Pierre Satgé 82 ans, ancien guide de haute montagne ayant fait partie du PGHM et auteur de 2 livres sur des itinéraires de ski de rando. Régis nous fera un repas bien copieux et nous pourrons nous coucher le ventre bien plein. Le lendemain départ vers 7h30 du refuge après avoir salué tout le monde, vers la Tusse de Montarqué et je regarderais le soleil apparaitre 1h plus tard au sommet à 2889m. Magnifique point de vue matinale sur tous les 3000 du coin. Je resterais là un moment, tout seul, à m’émerveiller du spectacle grandiose que m’offre ce moment. Bon ce n’est pas le but de la journée, je repars donc vers le col du pluviomètre d’où je m’imagine un itinéraire pour rejoindre le col des Gourgs Blancs. C’est du bloc, et encore du bloc jusqu’au pied du col, c’est long et fastidieux mais on y arrive quand même. La montée au col est raide mais courte. Au col 2817m, je ferais une bonne pose en regardant l’arête à grimper. Celle ci n’est pas difficile, mais je l’ai trouvée quand même plus compliquée que ce que disent tous les topos, qui décrivent ce pic comme facile. Au sommet, la vue est évidemment magique, magnifiée par l’air pur et translucide de l’automne. Je resterais un bon moment au sommet en essayant de graver en moi cette vue spectaculaire dont je rêverais plus tard. Viens toujours le moment ou il faut bien redescendre, je commence donc à descendre mais tout de suite, je n’arrive pas à reconnaitre l’itinéraire de montée. Pas de cairn, pas de trace et je m’embarque au plus facile, c’est à dire à gauche et je me retrouve sur l’arête Est. Je sais bien que ce n’est pas le bon chemin mais en regardant, je me sens capable de descendre. C’est un itinéraire plus difficile mais j’arrive tant bien que mal à descendre pour me retrouver bien excentré par rapport au col des Gourgs Blancs, que j’arrive à rejoindre à flanc, ouf. Je continue à descendre et je sais qu’il faut passer au dessus du lac glacé en le laissant à droite, je descends dans de gros blocs à vue et retrouve des cairns qui me guideront jusqu’au signal des mineurs. Il est déjà midi et je m’arrête pour casser la croute. J’entends des voix et je vois l’équipe du PGHM qui entame l’escalade du Spijeoles par l’arête Jeannel. Je me régale à les regarder tout en mangeant. Le casse croute finit, je continue ma descente jusqu’à la passerelle de la Coume d’Abesque ou je vois 2 personnes au loin descendre du Portillon. Je suis sur que c’est les 2 Catalans qui étaient au refuge la veille et qui ont fait le Perdiguére. Je les attends….c’est bien eux, on rigole en se voyant et on se raconte la journée tout en faisant la descente jusqu’aux granges d’Astau ensemble. On ne pourra même pas boire une bière ensemble car l’Auberge est fermée, dommage. Merci donc à ce duo d’Anthony Catalan et j’espère que l’on se croisera de nouveau sur ces montagnes que l’on aime tant.

Cotation : PD-

Départ : des granges d’Astau 1140m

Dénivelé : 2345m

Distance : 29km

Cartographie

Photos